❉ NOM COMPLET - Everdeen, de part son père bien qu'elle ne pense pas grand bien de ce dernier et anciennement Everdeen-Stark. En effet, la jeune femme est divorcée et contrairement à ce qu'on avait pu lui proposer, elle n'a pas décidé ou plutôt elle n'a pas voulu conserver le nom de son adultérin de mari. Cette jolie blonde porte également le doux prénom de Sloane, unisexe si vous le préférez, ses parents, lorsqu'ils étaient ensemble n'ont jamais voulu connaître le sexe de leur enfant c'est pourquoi à l'unanimité ils ont convenu d'une prénom aussi bien adaptable pour une fille que pour un garçon. Cependant et comme le veut la pure tradition américaine, la jeune femme porte aussi le nom de ses deux grands-mères, à savoir Eléanore du côté paternel et Lilliane du côté maternel. ❉ SURNOM(S) - On ne peut pas vraiment dire que la jeune femme possède énormément de surnoms, en réalité, elle n'en possède aucun. Ou peut-être si, ce dernier n'est certes pas du tout en rapport avec son prénom ou une quelconque affection mais Doc' est le plus utilisé par ses ami(e)s les plus proches en relation avec son métier. ❉ ÂGE ET LIEU DE NAISSANCE - Âgée de vingt-neuf ans tout rond, dans peu de temps Sloane atteindra l'âge fatidique de la trentaine, non sans une certaine appréhension. Née le 17 janvier à Maple Bay même, si elle a dut quitter la ville pour suivre ses études dans l'une des universités les plus réputés, elle y est finalement revenue suite à son divorce. ❉ MÉTIER/ÉTUDES - C'est depuis quelques années déjà que Sloane s'est dirigée vers le corps médicinal occupant le poste de médecin urgentiste spécialisé en traumatologie. Un métier qu'elle affectionne plus que tout, faisant peut-être un peu trop passer son métier avant sa vie privée. ❉ STATUT CIVIL - Comme dit précédemment notre future trentenaire est divorcée, depuis un peu plus d'un an maintenant. C'est à Maple Bay, sa ville d'origine qu'elle a décidé de revenir en tant que célibataire. Et si elle accumule des ébauches de relations dans l'espoir de retrouver peut-être, un homme qui la rendra enfin heureuse, c'est en célibataire fraîchement divorcée que l'on catégorie Sloane. ❉ TRAITS DE CARACTÈRE - perfectionniste → froide en apparence → attentionnée → passionnée → altruiste → bourreau de travail → légèrement ermite mais profondément sociable → intelligente → curieuse (parfois un peu trop) → bavarde → brisée → féminine → sportive → romantique → joueuse → rancunière → expressive → indépendante → fidèle → autodidacte. ❉ GROUPE - Heavean, les fêtes, aussi diverses soient-elles sont pour Sloane un véritable retour en enfance, les yeux qui pétillent, le sourire toujours affiché sur ses lèvres. C'est en véritable petite fille que la jeune femme s'active à la décoration de cette ville qu'elle a connu depuis sa plus tendre enfance. ❉ AVATAR - La belle, l'unique, la magnifique, Yvonne Strahovski !

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13 octobre 1998 – Je n'étais âgé que de 14ans lorsque j'appris cette terrible vérité. Tranquillement dans ma chambre, j'entendis ma mère élever sa voix à l'égard de mon père, à vrai dire si au départ je n'entendais pas vraiment le sujet de leur dispute, lorsque je sortis de ma chambre en direction de l'escalier je pus parfaitement comprendre ce qu'ils se disaient. « Comment tu as pu ? » Fronçant les sourcils, je descendis les marches tel un loup dans le but de ne pas me faire surprendre et ainsi connaître le sujet exacte de cette histoire. Depuis un moment déjà ce couple que je pensais si parfait battait de l'aile, -tiens, il me semble reproduire cette même histoire quelques années plus tard!-, mon père rentrait très tard sans donner une véritable raison, il lui arrivait même de partir plusieurs jours en ne donnant que quelques signes de vie une fois par jour. Si ma mère semblait faire mine que tout allait bien dans leur couple je savais au plus profond de moi, lorsque je l'entendais pleurer le soir dans sa chambre que quelque chose n'allait pas entre eux. « Je suis vraiment désolé. » Désolé ? Oui il pouvait l'être ! Ensemble depuis plusieurs années, mes parents représentaient ce que l'amour avait fait de plus beau, l'oeuvre finale de Cupidon, cette œuvre que je voulais reproduire à mon tours. Et pourtant, même dans le plus merveilleux des couples se cachent les plus lourds secrets que l'on puisse connaître ! Elle aurait pu être ma sœur ! Elle n'avait qu'une vingtaine d'années, 25 tout au plus, elle était jeune, rousse alors que ma mère était blonde, serveuse, vivant au jour le jour. C'était avec cette totale inconnue qu'il avait décidé d'être, qu'il se cachait durant des jours tandis que ma mère pleurait dans sa chambre. « Ça tu peux l'être ! Dégages ! DEGAGES ! » Se fut la dernière fois que je vis mon père, ou du moins que je l'aperçu, je n'eus pas le temps de lui dire au revoir, il quitta la maison ce soir là, ne revenant chercher ses affaires que lorsque j'étais à l'école, peut-être par peur de me voir, par peur de voir la colère que j'avais à son égard. Il avait trahi ma mère et étrangement, il m'avait trahi ! Je croyais en l'amour qu'il avait pour ma mère et tout cela n'était en fait que du vent ! Qu'une véritable façade.

3 MARS 2011 - Ma main, tremblante, fermée en un poing vint s'approcher de l'immense porte blanche que je n'avais cessé d'ouvrir et fermer lorsque je n'étais qu'une petite fille. Mon cœur s'emballait tendit que je sentais ce nœud se serrer un peu plus à l'intérieur de mon ventre. J'avais, comme on le dit si vulgairement, tout plaqué, tout laissé tomber, mes ami(e)s, mon travail, mes projets, mon « mari » que je ne tarderai pas à appeler « ex-mari » pour retourner dans cette ville qui m'avait vu grandir et partir et enfin aujourd'hui revenir, les larmes aux bords des yeux. Mon poing vint finalement donner 3 gros coups sur cette immense porte alors que je m'apprêtai presque à tourner les talons, retourner dans ma voiture, et prendre la route en direction d'une destination qui m'était encore complètement inconnue. Cependant, alors que cette forme de spontanéité me poussait à quitter les lieux, j'entendis le verrou se tourner, et ce grincement bien trop connu retentir, un fin sourire s'afficha sur mes lèvres tandis que j'apercevais cette silhouette frêle devant moi. Ni une, ni deux, cette joie auparavant affichée sur mon visage se transforma en une forme de tristesse, laissant une larme perler sur ma joue, signe de faiblesse que je ne montrai que trop rarement, il n'y a qu'en sa présence que je me laissais aller. Elle était l'une des rares personnes à me connaître véritablement, à savoir que sous cette façade qui en apparence était rare se trouvait finalement une personne au grand cœur, une jeune femme timide et en manque de confiance en elle. « Maman ! » Dis-je finalement dans un murmure avant de me laisser tomber dans un véritable torrent de larme. J'avais beau avoir 28ans, elle ne restait pas moins celle qui me verrait toujours comme une enfant qu'il fallait protéger. Sa douce main vint se poser dans cette espèce de tignasse blonde que j'abordai tandis qu'elle me sourit. Elle était au courant, elle connaissait toute ma vie, ou du moins une bonne partie de celle-ci, elle savait que mon couple en apparence si parfaite battait de l'aile, la raison ? Elle l'ignorait en revanche complètement ! « C'est terminé ! » Lui annonçai-je entre 2 sanglots tandis qu'elle m'invitait à entrer dans cette maison que je connaissais si bien. J'étais de retour.

28 JUILLET 2011 – Cela faisait maintenant 4mois que j'étais revenue à Maple Bay. Cette après-midi je ne travaillais pas car oui, depuis mon retour j'avais repris en quelque sorte ma vie en main. 4mois auparavant j'étais arrivée dans cette ville complètement abattue, ayant perdu l'unique personne en qui j'avais une confiance des plus aveugles du moins le pensai-je. Quel ne fut pas le coup de couteau reçu en plein dans le dos lorsque j'appris la vérité sur cet homme que j'aimais depuis plusieurs années. Médecin urgentiste dans l'hôpital de la ville, rares étaient les heures que je passais en dehors de l'hôpital et encore, lorsque je ne travaillais pas il m'arrivait de passer tout mon temps libre au deuxième étage en compagnie de ces jeunes enfants. « Alors ça y est ? » Dit-elle en me secouant le bras dans le but de me sortir de mes pensées. Secouant à mon tours la tête, je revins à la terre ferme, haussant les épaules, je lui fis un signe affirmatif de la tête. « [/b]Oui, il a signé les papiers, il n'a pas eu le choix de toutes façons.[/b] » Lui confiai-je avant prendre une gorgée de mon café au lait, grimaçant à la brûlure qu'il provoqua à l'intérieur. Je ne manquais pas de tourner machinalement la bague qu'il m'avait offert lors de notre mariage. Je ne l'avais pas retiré, pas encore du moins, peut-être ne réalisai-je pas encore que nous venions de divorcer, depuis mon départ de Toronto en mars dernier je ne l'avais pas revu et pourtant nombreuses furent les fois où il tenta de me joindre, rien à faire, je le laissai, j'avais prit comme décision de ne pas le revoir. « Et toi comment tu te sens ? » A vrai dire je connaissais le fond de sa réponse et pourtant, je fis en sorte de tourner autour du pot, peut-être une façon pour moi de me voiler la vérité. Je lui répondis d'un ton neutre que tout allait pour le mieux, que j'étais de retour dans cette ville dans laquelle j'avais grandi et que j'avais quitté très précipitamment pour entrer en faculté de médecine, endroit où je connue Stark -aujourd'hui je ne l'appelle plus que par son nom de famille- et où commença une romance de 7ans. « Doc', je te demande à toi, comment tu te sens ? À l'intérieur ? » Je plongeai dés lors mon regard dans le sien alors que celui-ci s'humidifia, mon cœur s'emballa de nouveau, mon ventre se noua, cette vérité que je voilais me retombait droit dans les yeux. Elle était la seule au courant, la seule personne que j'avais appelé pour lui annoncer cette triste nouvelle il y a quelques années. « Et bien... » Marquant une pause, ce mot était si difficile à sortir, ma bouche était complètement sèche, sa main se posa sur la mienne tandis qu'inévitablement une larme roula sur ma joue sans que je ne puisse le contrôler. Cela faisait 4ans, 4longues années que j'appris que j'étais stérile, ne pouvant donner d'enfants à l'homme que j'aimais pour une raison que j'ignorai, mon corps refusait catégoriquement la présence d'un quelconque être. « C'est difficile. » Lui dis-je tout en passant une main sous mon œil essuyant dés lors la larme qui perlait. Stark désirait des enfants, désirait fonder une famille, famille que je ne pouvais lui donner, j'avais refusé d'exécuter mon devoir conjugal, la fréquence de nos rapports avait considérablement diminuée depuis cette terrible annonce. À vrai dire je m'en voulais, énormément, une part de moi ne pouvait s'empêcher de se sentir coupable du désastre de notre couple tandis que l'autre moitié me hurlait qu'il ne me méritait pas, qu'il était finalement comme tout les autres, comme celui que j'avais depuis ma plus tendre enfance appelé « Papa ». Tout comme lui, Stark avait préféré la chaleur des bras d'une jeune femme, une jeune étudiante en médecine dans l'Université où il donnait des conférences. « Tu sais, tu n'as absolument rien à te reprocher. » Elle avait beau avoir toutes les paroles du monde dans le but de me réconforter comment voulez-vous rassurez une femme qui ne pourrait jamais donner naissance ?

3 SEPTEMBRE 2012 – Alors que mon heure de déjeuner venait de sonner je pris tout de même le temps de monter au deuxième étage. C'est drôle mais depuis ma « mutation » contrainte, à l'hôpital de Maple Bay je passais énormément de temps dans cet endroit, et particulièrement en leurs compagnies, ces enfants représentaient en quelques sortes une forme de deuxième souffle, ils inspiraient une joie de vivre, l'innocence et je m'efforçai d'être comme eux, lorsque j'étais en leurs compagnies je me sentais rajeunir, retrouver cette innocence perdue, ils représentaient ce que je n'aurai jamais et c'est très certainement pour cela que je passais autant de temps avec eux, les considérant comme mes propres enfants, je leur donnai tout l'amour, toute la gentillesse que j'avais à donner.

AUJOURD'HUI - « Je suis là Sloane, tout va bien. » Que dire si ce n'est que je ne m'étais jamais sentie aussi bien de toute ma vie ? Je fermai les yeux tandis que je sentais ses doigts caresser mes cheveux, les battements de son cœur me berçait alors que je fermai les yeux. Tanner... ce jeune homme. Que voulez-vous que je vous dise de lui ? À ses côtés je me sentais bien, libre, telle une adolescente qui découvre tout juste cette sensation lui prenant le ventre lorsqu'elle rencontre pour la première fois un jeune homme. À vrai dire je ne pourrai pas mettre de mots exacts sur mes ressentis à l'égard de Tanner, il était gentil, amusant, c'était un grand gamin que j'avais rencontré à l'hôpital pendant l'une de mes pauses et étrangement le contact était passé aussi simplement que le mot « bonjour ». A l'hôpital d'ailleurs ce dernier portait le doux surnom de « Gamin Sexy », combien de mes collègues féminins s'amusaient à lui regarder son fessier lorsqu'il passait dans les couloirs en direction du deuxième étage, d'ailleurs, à son passage les discussions changeaient immédiatement allant jusqu'à s'imaginer ce qu'elles aimeraient lui faire ou apprendre si jamais elles se retrouvaient seules en sa compagnie. Oh oui, je riais lorsqu'il passait puisqu’innocemment je faisais comme ces femmes, je n'hésitais pas à laisser mes yeux se balader. Mais aujourd'hui tout était différent, lointaines étaient toutes les discussions avec mes collègues de travail. Aujourd'hui je me retrouvai à ses côtés, dans le même lit, je n'avais pas voulu passer la nuit seule chez moi, dans l'appartement que j'occupais depuis mon retour en ville, et apparemment il en était de même pour lui. Après avoir bu quelques bières dans le bar non loin de chez lui nous avions finalement décidé de rester un peu plus longtemps ensemble. Le soleil se levait lentement, le jour et nos vies allaient alors reprendre comme avant, je n'en avais pas vraiment envie, pas du tout même ! Lorsque j'étais avec Tanner le temps semblait comme s'arrêter, nous ne parlions pas vraiment de nous, en fait nous ne parlions pas du tout de nous, de nos secrets respectifs, de nos histoires personnelles, certes il savait que j'étais divorcée mais en ignorait complètement la raison. Tanner était mystérieux, parfois distant lorsque j'essayais d'en savoir un peu plus sur lui, tout comme je l'étais lorsqu'il se voulait curieux. Parler d'une quelconque relation serait un peu prématurée, disons simplement que nous ne voulions pas être seul ce soir là, s'entendant extrêmement bien nous avions passé un peu plus de temps ensemble, se rapprochant plus que nous l'espérions si bien que ce matin je me retrouvais à moitié nue, vêtue simplement de son t-shirt. Tanner ? À vrai dire je n'avais aucune réponse concernant mon ressenti à son égard, autant je l'appréciai et Dieu seul sait combien j'eus du mal à accorder une quelconque confiance envers un homme depuis mon divorce et pourtant par moment il me semblait être face à un véritable inconnu. Je m'endormis paisiblement dans ses bras essayant de faire encore durer cet instant puis viendrait le temps où il retournerait à son train de vie et moi au miens, jusqu'à ce que nous déciderions de ne plus vouloir être seul. Comme il en fut question cette nuit là. Tanner Wayles... où allions nous aller ainsi ?

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❉ AGE - oulala j'ai arrêté de compter une fois la septième bougie de souffler. Aux dernières nouvelles, enfin je crois, c'est ce que ma maman m'a dit j'ai 21ans, plus ou moins, mais personnellement j'y crois pas trop trop... ❉ RÉGION - Par ici ou par là ! Je suis un peu partout en fait, entre le nord et le sud de l'équateur. Ça vous aide hein . ❉ OU AVEZ-VOUS CONNU AOW? - Via Bazzart, ça faisait un moment que je n'y étais pas allée et pourquoi pas ? Puis je suis tombée sur cette petite perle. ❉ VOTRE AVIS - .❉ FRÉQUENCE DE CONNEXION - Généralement je passe une fois par jour sur le forum afin de savoir s'il y a du nouveau. ❉ CACEDÉDI - écrire ici.